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Alors qu’il doit accélérer une campagne minée par les mauvais sondages et les résurgences du quinquennat passé,Nicolas Sarkozy en campagne sur un air de déjà-vu,marc jacob lunette de vue,Nicolas Sarkozy en campagne sur un air de déjà-vu, Nicolas Sarkozy semble avoir les yeux rivés dans le rétroviseur. Dimanche 9 octobre, au Zénith de Paris, lors de son plus grand meeting avant le premier tour de la primaire de la droite le 20 novembre, l’ancien président de la République a rejoué une partition déjà beaucoup répétée lors de l’élection présidentielle de 2012 : l’ode à la « majorité silencieuse » méprisée par « cette élite guère présente dans le métro, dans les trains de banlieue,Nicolas Sarkozy en campagne sur un air de déjà-vu, dans les collèges de ZEP… »
« La véritable modernité,Nicolas Sarkozy en campagne sur un air de déjà-vu,dior lunette prix, c’est d’oser redonner la parole au peuple français, a lancé M. Sarkozy devant 6 200 personnes agitant des drapeaux français. Il y a la modernisation pour l’élite et il y a la modernisation pour le peuple. Il y a la modernisation hors sol ou une modernisation enracinée dans notre histoire. (…) Peuple de France, allez dire que la majorité silencieuse a décidé de ne plus être silencieuse. »
La modernité sarkozyste de 2016 passera donc par l’usage du référendum. Dimanche, l’ancien chef de l’Etat a défendu sa volonté d’organiser deux scrutins de ce type s’il réinvestit l’Elysée – l’un sur la suspension du regroupement familial, l’autre sur l’internement préventif des fichés « S » « les plus dangereux ». Une modernité qui a des airs de déjà-vu.
En février 2012,oakley velo, pour lancer sa campagne présidentielle, M. Sarkozy avait promis de consulter directement le peuple français sur le droit des étrangers et sur l’indemnisation chômage. Une façon de passer par-dessus les « corps intermédiaires »,lunette tom ford femme, cible toujours d’actualité en 2016. « Regardez-les, écoutez-les. En appeler au peuple ! Quel scandale ! Quel populisme. Et puis en plus, ce serait impossible », a-t-il ironisé en citant « les juristes », « les spécialistes » et, enfin, « le Conseil d’Etat, il…
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